Commerce à l'essai : redonner vie au centre-ville de Dieuze
Redonner vie au centre-ville de Dieuze. La municipalité a décidé de se donner les moyens de redynamiser le centre-ville avec le dispositif « commerce à l’essai ». L’idée : racheter une partie des vitrines vides, les rénover et les mettre à disposition de nouveaux commerçants.
Paul Benoist, adjoint au maire de Dieuze en charge du centre-ville.
Son N°1 - Commerce à l'essai : redonner vie au centre-ville de Dieuze
La municipalité proposera un loyer réduit pour ces porteurs de projets. L’objectif : revitaliser le centre-ville, apporter de nouvelles activités économiques et redonner vie à des locaux vides, grâce à des commerces qui sont peu ou pas représentés dans la commune.
Franck Mennel, Président des commerçants de Dieuze.
Son N°2 - Commerce à l'essai : redonner vie au centre-ville de Dieuze
Il faut dire que la ville de Dieuze a souffert du départ du 13ème Régiment de Parachutistes en 2011. Le 13ème RDP c’était 900 militaires, 250 familles, 700 enfants et 20 millions d’euros de pouvoir d’achat qui étaient dépensés en Moselle-Sud et particulièrement sur Dieuze. C’est pour ça que la ville a réagi.
Fernand Lormant, maire de Dieuze.
Mais le départ du 13ème RDP n’est pas le seul facteur lié à la désertification du centre-ville. Selon l’adjoint au maire, Paul Benoist.
Son N°4 - Commerce à l'essai : redonner vie au centre-ville de Dieuze
Et 15% des commerces c’est environ 15 vitrines. C’est pour ça que la ville de Dieuze et son maire ont décidé de faire le nécessaire pour redonner vie au centre-ville.
Son N°5 - Commerce à l'essai : redonner vie au centre-ville de Dieuze
Le dispositif « commerce à l’essai » est mené par la municipalité, l’association des commerçants de Dieuze mais aussi et surtout par le cabinet Alexis, spécialisé dans la création d’entreprise.
Les commerçants ou porteurs de projet qui souhaitent s’inscrire au dispositif « commerce à l’essai » peuvent contacter le cabinet Alexis ou la mairie. S’ils sont sélectionnés, ils pourront donc bénéficier d’un loyer réduit mais également d’un accompagnement et d’un suivi par le cabinet.
Photo : Julie Chaput