Saint-Avold : L’Histoire et la passion se donnent rendez-vous au salon de l'arme ancienne
Ce dimanche avait lieu la 38e édition du salon de l’arme ancienne, à l’Agora de Saint-Avold. Organisé par le comité des fêtes de Biding, plus de 100 exposants venus de 13 pays différents, ont répondu à l’appel pour exposer et vendre tous types d’objets liés aux deux guerres mondiales.
Son N°1 - L’Histoire et la passion se donnent rendez-vous au salon de l'arme ancienne
Fusil, sabre, dague, badges, les objets insolites ne manquent pas. Valentin est venu ce matin avec sa fille sur ce salon pour découvrir ou redécouvrir des détails de l’Histoire.
C’est un petit plaisir de redécouvrir tout ce qui était arme d’antan, et de voir qu’il y a toujours des gens qui s’intéressent et qui font vivre la mémoire de la guerre et de notre Histoire.
C’est l’un des plus grands salons de l’arme en France. On peut retrouver d’innombrables objets. Kévin Dolisy est le président du comité des fêtes de Biding.
C’est un salon de l’arme, de l’antiquité militaire. On va retrouver des armes démilitarisées, des tuniques, des badges, des livres, …Tout ce qui touche à l’histoire de la première ou la Seconde Guerre mondiale.
Sur le stand de René qui vient de Lyon, on retrouve différents objets provenant de différentes guerres.
Des baïonnettes, des casques, des armes de catégorie D2, et des uniformes. Les objets de la Seconde Guerre mondiale sont très intéressants, beaucoup de gens les cherchent, mais il y a beaucoup de copies, donc, je veux assurer à mes clients des objets de qualité.
Un rendez-vous chargé d’histoire où les passionnés comme Paul ne manquent pas de dénicher quelques pièces rares.
Je collectionne surtout des armes, je collectionne aussi celles qui sont neutralisées, pour la collection et garder la mémoire, mais aussi pour voir l’évolution des armes et les hommes qui étaient derrière. Ce que j’aime bien faire quand j’achète une arme, c’est de trouver à qui elle a appartenu, à quel bataillon, tout ça pour suivre l’histoire de l’arme.
Beaucoup de visiteurs sont venus par devoir de mémoire. L’année dernière, 1500 personnes s’étaient déplacées pour découvrir ces objets authentiques.