Sportif dans l'âme, Patrick participe aux jeux paralympiques en tant que volontaire
Un Sarralbigeois participe en tant que volontaire aux Jeux Paralympiques. Patrick Schmidt, ancien footballeur et éducateur sportif, est à la retraite aujourd’hui. Actuellement licencié dans un club de running et dans 3 clubs de country, Patrick a le sport chevillé au corps. Il a été sélectionné pour être volontaire lors de deux événements des Jeux Paralympiques.
Son N°1 - Sportif dans l'âme, Patrick participe aux jeux paralympiques en tant que volontaire
Chez lui, Patrick nous accueille avec fierté portant la tenue complète du volontaire officiel de ces jeux. Tee-shirt, chaussures, bob, rien n’est oublié.
On retrouve toute la tenue, chaussures, chaussettes, tee-shirt, un poncho, et le fameux bob que tout le monde s’arrache.
Depuis le début d’année, il sait qu’il fera partie de ces jeux paralympiques. C’est sa passion pour le sport qui l’a poussé à postuler pour cette fonction.
L’année dernière, j’avais vu un article qui disait qu’ils recherchaient des volontaires sur Paris, et je me suis dit « tiens, pourquoi pas, j’étais toujours dans le sport, on va tenter le coup ! ». Je me suis inscrit, et au milieu des 400 000 volontaires, 40 000 ont été pris et puis j’ai été sélectionné.
Volontaire lors de 2 événements
Il participera à 2 événements majeurs de cette compétition. Voici ses tâches :
Ça sera d’être équipier au service des spectateurs. Je serai au stade de Roland-Garros, pour pouvoir guider les spectateurs vers l’enceinte du tennis en fauteuil. J’ai eu, il y a quelques jours, un message pour me dire que ma mission était également validée pour la cérémonie de clôture, qui se fera le dimanche 8 septembre, et là, c’est quelque chose d’assez extraordinaire, parce que je vais être assistant d’un porte-drapeau.
Un rêve pour ce sportif
Un rêve qui va se réaliser pour lui.
De pouvoir rentrer dans ce stade de France, fouler la pelouse avec tous ces athlètes, et puis en plus d’être à côté d’un porte-drapeau, ça sera une fierté de pouvoir faire ça.
Même si c’est un événement mondialement suivi, il n’a pas tellement de stress.
Du stress, pas forcément. Je suis un retraité, donc, ça va, j’ai les épaules un peu larges. Mais bon, il pourrait y avoir du stress, en rentrant sur le stade de France, je pense que ça pourrait faire mal, mais bon, c’est que du plaisir. Je pense que ce sont des souvenirs qui resteront gravés à jamais.
Lorsqu’il rentrera, avec des souvenirs pleins la tête, Patrick s’élancera sur une randonnée de 250 km sur la voie du Rocamadour et la voie du Célé.