Bitche : Au cœur des missions du 16e bataillon de chasseurs à pied lors des portes ouvertes
par Lucas Michels
lundi 16 juin 2025 à 06:42
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Ce week-end, le site du 16e bataillon de chasseurs à pied de Bitche a ouvert ses portes au public. Des démonstrations, des rencontres avec les militaires et 36 ateliers étaient proposés pour faire découvrir, de différentes manières, les missions et le quotidien des forces armées sur ce site.
Son N°1 - Au cœur des missions du 16e bataillon de chasseurs à pied lors des portes ouvertes
Les portes ouvertes ont commencé avec une cérémonie. L’instant d’après, les différents stands de découverte démarrent et le public se fait nombreux. Comme François, certains sont venus par curiosité.
Pour découvrir un terrain militaire qu’on connaît assez mal, même en habitant à proximité. Le but est aussi de voir quelles sont les activités du bataillon de chasseurs à pied, et puis, profiter d’une belle journée de soleil.
Juste derrière lui se tient un parcours commando pour les moins de 12 ans, animé et encadré par les militaires comme Marc-André.
On propose, aux jeunes, une petite mise en situation. Ils sont capturés par l’ennemi, mais arrivent à s’exfiltrer, donc, on a différentes étapes comme la forêt amazonienne, ensuite le ramper, pour éviter les tirs ennemis, et pour finir, un lancer de grenades pour détruire la base ennemie.
Ce matin, l’atelier qui attire Pauline et la foule, c’est une démonstration dynamique avec des blindés et des militaires lançant un assaut.
C’était assez réaliste, on peut voir encore les douilles par terre, il y avait aussi des drones, c’était vachement bien fait.
Pour les proches des militaires du 16e BCP, comme Paloma, cette journée est un moyen pour découvrir le quotidien de ces hommes et de ces femmes.
On se dit que les militaires, on ne sait pas véritablement ce qu’ils font. Là, c’est une opportunité pour découvrir leur cadre de travail et de vie, et puis, on voit que c’est un peu comme une famille.
Aujourd’hui, fiers de montrer au grand public cette famille qui les unit, les militaires comme Marc-André ont aussi l’espoir de transmettre le flambeau.
Pour transmettre ma passion, ce que j’aime, et puis, si ça peut créer des vocations chez un certain public, c’est parfait.
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C’est l’heure de la kirb à Diemeringen !