Sarreguemines : Danse de la joie sous la pluie ou la célébration du Père Cent
A 100 jours de l’épreuve du bac de philosophie, les lycéens de terminale se sont accordés une journée pour lâcher la pression dans les rues du centre-ville. Ils étaient près de 500 à braver la pluie.
Son N°1 - Danse de la joie sous la pluie ou la célébration du Père Cent
Qu’est-ce que c’est le Père Cent ?
Le Père Cent c’est 100 jours avant le bac, à la base c’est le 6 mars mais tout le monde voulait le faire le vendredi pour s’en remettre ce week-end. Et il y a tellement de monde, on ne pensait pas être si nombreux ! Bon, on me jette de la farine, ça m’énerve mais ce n’est pas grave ! Arrêtez !
Avec son chapeau de cow-boy, Jeanne est au lycée Jean de Pange. Les premières épreuves du bac sont dans une semaine pour les spécialités. L’occasion ou jamais de lâcher toute la pression pour Maxime, ses amis et Lise.
Lundi prochain ça va être compliqué oui.
Donc il faut bien se lâcher et franchement il y a une super bonne ambiance. C’est vraiment quelque chose à faire une fois dans sa vie.
C’est pour profiter une dernière fois parce qu’après les révisions vont commencer !
Un dernier moment de folie avant les révisions
La pression du bac mais aussi la pression de l’orientation. Les vœux sur parcours sup' se sont clôturés ce jeudi 9 mars. Myriam et Albert ne veulent plus y penser.
C’est le jour où il faut vraiment se lâcher pour reposer nos esprits parce qu’on est en stress.
Du coup on boit des coups ! Le Père Cent c’est un évènement très rare et si on ne boit pas un coup ce n’est pas marrant ! C’est la tradition.
Dans les rues il fallait éviter les lancers de farine. Coralie s’est retrouvée prise au piège.
Oui je suis toute blanche ! C’est la farine, c’est super sympa… Mais super contente d’être là quand même, on est venu pour ça.
Un instant de joie collective pour les lycéens malgré la pluie. Ils avaient aussi une pensée pour leurs professeurs du lycée Simon Lazard.
C’est qu’une fois dans notre vie alors on était obligé de venir !
On fait un bisou à monsieur Bourgel même s’il ne voulait pas qu’on vienne.
Et gros bisous à madame Kirsch aussi !