Harcèlement scolaire en Moselle : la parole se libère
Vous avez été 6 287 000 téléspectateurs à suivre le téléfilm Le jour où j'ai brûlé mon coeur lundi soir sur TF1.
Un téléfilm qui évoquait l'histoire vraie de Jonathan Destin, victime de harcèlement scolaire.
Un téléfilm qui libère la parole
A la fin de sa diffusion, nous vous avons interrogé sur Facebook. Nous voulions votre avis sur ce téléfilm. Et vous avez nombreux à réagir mais aussi à témoigner.
Témoigner et dénoncer ce calvaire que peuvent vivre au quotidien plein d'enfants. La Moselle n'est pas épargnée par ces faits-là. Et certains parents ou victimes ont accepté de livrer leur histoire pour nous.
"Si tu me donnes pas d'argent, je te tue"
Une première personne, une maman, a accepté de nous raconter la souffrance de sa fille, victime de harcèlement en CM2.
Son N°1 - Harcèlement scolaire en Moselle : la parole se libère
Lorsqu'elle a découvert ce que subissait sa fille, cette maman n'a pas tardé à réagir.
Son N°2 - Harcèlement scolaire en Moselle : la parole se libère
Cette mère de famille a donc décidé de rencontrer directement les parents des harceleurs pour les menacer de porter plainte. Son action a permis que le harcèlement s'arrête.
Aujourd'hui sa fille est au collège et elle se porte mieux.
"Une de ses amies avait découvert qu'elle s'était coupée les veines avec des ciseaux"
Françoise est également une maman qui a connu ce calvaire. Sa fille a été victime de harcèlement en primaire et au collège.
Une situation difficile à vivre qui a poussé à bout cette mère de famille.
Son N°4 - Harcèlement scolaire en Moselle : la parole se libère
Sa fille est donc arrivée au stade de vouloir mettre fin à ses jours.
Son N°5 - Harcèlement scolaire en Moselle : la parole se libère
Aujourd'hui, elle a 16 ans et va beaucoup mieux.
"C'était déjà comme ça il y a 30 ans"
Fred a 43 ans aujourd'hui. Lorsqu'il avait 13 ans, il était victime d'harcèlement scolaire.
Son N°6 - Harcèlement scolaire en Moselle : la parole se libère
Fred n'a pas réussi à voir le film, trop douloureux pour lui. Aujourd'hui, père de deux enfants, il reste à leur écoute.
"Un harceleur en souffrance"
Pour Elodie, il faut penser bien sûr à la victime et l'aider. Mais aider aussi le harceleur, puisque selon elle, il est aussi en souffrance.
Son N°7 - Harcèlement scolaire en Moselle : la parole se libère
"Il y a la responsabilité des parents et de l'école"
Sonia a regardé ce téléfilm avec son fils. Cette histoire lui a permis d'en discuter avec lui.
Son N°8 - Harcèlement scolaire en Moselle : la parole se libère
Si vous êtes victime de harcèlement(s), n'hésitez pas à en parler auprès de vous ou à appeler le 30-20.