Une journée pour promouvoir la ''mobilité douce'' à Sarreguemines
Ce samedi 1er octobre c’est la journée de la mobilité douce à Sarreguemines. L’objectif est de faire la promotion des moyens de transports non-motorisés.
Son N°1 - Une journée pour promouvoir la ''mobilité douce'' à Sarreguemines
Maxime Tritz – adjoint aux sports à la mairie de Sarreguemines
C’est quoi cette journée de la mobilité ? Pourquoi avoir mis en place cet événement ?
Effectivement on a mis en place cet événement de la mobilité douce parce que ça fait un moment qu’on avait cette idée et le 1er octobre, on a, en parallèle de cette journée, organisé une course dans le centre-ville avec l’ASSA, Intermarché et notre vedette Yann Schrub qui courra avec le public.
En plus de ça, il y aura des animations, lesquelles ?
Il y aura d’autres choses autour puisque nous avons eu envie de mettre à l’honneur tout ce qui est « mobilité douce », bon pour l’environnement, pour le corps, pour l’esprit. On a eu l’idée de mettre à l’honneur tout ce qui est vélo, roller dans le centre-ville. La circulation sera modifiée dans le centre-ville. Il sera possible de circuler dans la ville, bien sûr, mais il y aura des déviations avec le centre-ville bloqué une bonne partie de l’après-midi. De 14h à 18h. J’invite tous les Sarregueminois et Sarregueminoises, les personnes des quartiers et des communes environnantes à venir.
Vous faites la promotion de la mobilité douce à Sarreguemines mais est-ce que la ville est vraiment adaptée ? Est-ce qu’on peut s’y balader à vélo ? On entend souvent qu’il n’y a pas suffisamment de pistes cyclables, est-ce que des aménagements en ce sens sont prévus ?
Depuis peu, nous avons lancé un chantier d’étude du vélo avec la communauté d’agglomération pour essayer de lancer une vraie étude vélo sur le centre-ville. On a une ville au premier abord pas idéale pour le vélo parce qu’elle n’est pas plate – alors que nous parlons platt ! Mais depuis qu’il y a les vélos à assistance électrique ça change la donne parce que si on veut aller de Folpersviller à la rue de la montagne par exemple c’était pas évident avant et avec le vélo électrique qui se développe c’est plus accessible.
C’est vraiment à l’étude, je ne peux pas communiquer de date mais on a travaillé sur tout ce qui est infrastructures, parking-vélo qui manquent cruellement en ville. On a différents partenariats avec des associations motivées comme le sprinter-club, le cyclo-club ou, plus récent, le nouveau comité vélo qui s’est créé sur Sarreguemines.