Forbach : Dominique Feiss, candidat sans étiquette aux élections législatives anticipées 2024
Dominique Feiss est candidat aux législatives anticipées dans la circonscription de Forbach. Dirigeant d’entreprise, ancien salarié des HBL, l’homme de 64 ans se présente sans étiquette et veut se faire entendre à Paris pour porter comme il dit « la voix du bassin ». Il veut contrer les extrêmes et lutter contre les jeux politiques. Dominique Feiss a répondu aux questions de la rédaction. La première : qui êtes-vous ?
Son N°1 - Dominique Feiss, candidat sans étiquette aux élections législatives anticipées 2024
Je suis dirigeant d'entreprise, je suis basé à Alsting, je suis originaire de Alsting, j'étais conseiller municipal pendant 3 mandats avec Jean-Claude Hehn (NDLR : maire de Alsting et président de la communauté d'agglomération de Forbach), et conseiller communautaire également.
Si vous êtes élu à l'Assemblée Nationale, quels sont les priorités selon vous ?
Notre première priorité sera d'améliorer la compétitivité et de favoriser l'emploi. Je pense qu'on a un besoin impératif de faire venir les entreprises sur le secteur. Nous avons sur le secteur de Forbach beaucoup de friches industrielles, et qui sont encore en piteux état.
Autre point, le choc des frontaliers...
On sait qu'on va se retrouver, d'ici quelques années, avec ZF, Michelin et Ford qui vont licencier. On parle entre 10 et 12 000 personnes parmi lesquelles il y aura de nombreux frontaliers. Ces nombreux frontaliers vont revenir chez nous. Qu'est-ce qu'on fait pour préparer ce retour ?
La santé, c'est aussi une priorité pour vous ?
On va essayer de trouver une solution pour permettre encore l'installation de médecins, parce que nous avons un bassin où il y a énormément de personnes âgées, et ces personnes âgées se retrouvent aujourd'hui sans médecin.
Pour l'hôpital Marie-Madeleine, on va essayer de peser de tous nos moyens pour permettre la reconstruction, sur Forbach, de cet hôpital.
On n'oublie pas la sécurité...
On fera tout pour qu'on embauche encore des policiers et des gendarmes pour diminuer le sentiment d'insécurité qu'on peut avoir aujourd'hui dans certaines villes et certains villages.
Enfin, l'économie et le pouvoir d'achat...
Je crois qu'il faut qu'on améliore le pouvoir d'achat en baissant les factures d'énergie, en luttant contre l'inflation, et en baissant si possible les taxes sur les carburants.
Quelques mots pour les habitants de votre circonscription ?
Pour les gens qui me connaissent, et je crois que vous êtes nombreux à me connaitre, vous savez que je ne lâcherai jamais rien, donc je vais toujours au bout de mes convictions.