Smart : l'inquiétude des sous-traitants
À Smartville à Hambach, la CGT était sur le pont hier.
Ils ont distribué des tracts aux employés de l’usine Smart. Même si l’entreprise a annoncé un investissement de 500 millions d’euros et la future production d’une Mercedes électrique, les syndicalistes sont inquiets.
À partir de 2020, l’usine ne devrait plus produire de véhicules thermiques à essence. Ils se demandent ce que deviendront après cette date les 800 employés que l’entreprise sous-traite actuellement.
Vont-ils se retrouver sans travail avec le passage à l’électrique ? Denis Boss est délégué CGT et employé de Faurecia, l’une des entreprises sous-traitées par Smart.
Son N°1 - Smart : l'inquiétude des sous-traitants
Des membres de la CGT ont distribué des tracts aux entrées du site.
Ils s’inquiètent aussi du devenir des intérimaires qui sont, selon eux, de plus en plus nombreux. Thomas Di Francesco délégué CGT à Smart.
Son N°2 - Smart : l'inquiétude des sous-traitants
Ils appellent donc la direction de Smart à leur répondre. Ils menacent, sinon, d’appeler à arrêter le travail.