Le mouvement s’intensifie à la maison d’arrêt de Sarreguemines
La preuve avec des pneus en feu devant l’entrée de la prison. Il faut savoir que c’est une première à Sarreguemines, ce qui prouve le ras-le-bol des surveillants pénitentiaires.
Et la mobilisation pourrait encore monter en puissance si l’on écoute Jean-Michel Girardi, surveillant pénitentiaire et secrétaire local CGT.
Son N°1 - Le mouvement s’intensifie à la maison d’arrêt de Sarreguemines
On rappelle qu’à Sarreguemines il y a 27 surveillants pour 110 détenus.