Christelle Brua : pâtissière, "un métier qui ne s'arrête jamais"
On vous en parlait en début de semaine. Mardi soir, Christelle Brua, native de Sarrebourg, recevait le prix de la meilleure pâtissière du monde. C’est d’ailleurs en Moselle qu’elle a démarré sa carrière. Retour sur ce prix avec elle et le chef Jean-Georges Klein qui l’a côtoyé à ses débuts.
Les prix, Christelle Brua en reçoit dès ses débuts. Issue d'une famille de restaurateurs et peu avare en heures de travail, en 1998, elle est élue meilleure apprentie de Moselle. La même année, elle rejoint le restaurant l’Arnsbourg à Baerenthal 3 étoiles à l'époque. Elle officie au côté du chef Jean-Georges Klein.
Son N°1 - Christelle Brua : pâtissière, "un métier qui ne s'arrête jamais"
Une hyper active de la pâtisserie, voilà comme Christelle Brua se définie lorsqu’elle se retrouve aux fourneaux. Toujours à tester, innover. Résultat, des desserts de haut vol et des recettes qui ont fait le tour du globe.
Son N°2 - Christelle Brua : pâtissière, "un métier qui ne s'arrête jamais"
Son dessert signature : pomme soufflée croustillante, crème glacée Carambar, cidre et sucre pétillant
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Et symbole fort, elle est aussi la première femme à recevoir ce prestigieux prix de meilleure pâtissière. Une double victoire en somme.
Un poster de Frédéric Anton
La récompense de plusieurs années de travails et d’une passion qu’elle avait dès ses plus jeunes années comme se rappelle le chef Jean-Georges Klein lorsque, jeune femme, Christelle Brua avait un poster de Frédéric Anton dans sa chambre.
Son N°4 - Christelle Brua : pâtissière, "un métier qui ne s'arrête jamais"
Comme un clin d’œil du destin, Christelle Brua travaille depuis 2003 au Pré Catelan, un prestigieux restaurant parisien, avec comme collège le chef... Frédéric Anton.
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